adroit
(physiquement) × ardent × arriviste × arrogant × audacieux × bagarreur × brouillon × brute × buté × casse-cou × charmeur × combatif × compétitif × compliqué × connard
(avouons-le) × cynique × débrouillard × dépensier × déroutant × discourtois × distrayant × dominateur × endurant × excentrique × explorateur × fêtard × goguenard × humble × impatient × impulsif
(il en faut pour réussir à le canaliser, vraiment) × imprudent × indiscret × influent × insolent × intimidant × irrationnel × (il va dans un futur pour ou moins proche devenir) jaloux
(principalement en amour : les capacités magiques ou intellectuelles ne sont pas des sujets de compétition pour lui) × je-m'en-foutiste × lucide × loyal × macho × meneur × nonchalant × observateur × patriote (il aime la Russie, sa mère patrie) × ponctuel × protecteur × provocateur × pugnace × raciste (en vérité, c'est surtout une aversion
latente envers les américains, rien d'autre, par contre, concernant les né-moldus... c'est tout autre chose) × résistant ×
(parfois) rigide × rustre
(surtout au premier abord) × sanguin × serviable (oui oui, vous avez bien lu) × sécheur
(professionnel) × tactile × taquin × vaillant × volage × voleur × vulgaire
Il est loin d'être le « Monsieur Parfait » que beaucoup voudraient qu'il soit, dans tous les sens du terme.
Mauvaise graine. Mi-bilieux, mi-sanguin,
le vingtenaire n'est pas le plus facile à saisir. Il est un peu con aussi, Endy. Il
a de l'assurance, peut-être même
trop : c'est d'ailleurs l'une des raisons qui le poussera vers les portes de Durmstrang, à peine une année après avoir grossi les rangs de Koldovstoretz. Le
ça prend souvent la place de son
surmoi chez Endy, pis encore depuis qu'il s'est bien intégré
à son école de combattants ; la colère se lit dans ses yeux sans qu'il n'ait à faire grand chose, les pulsions sont mauvaises. Oh non, quand il s'énerve, ça ne provient pas de caprices ni même d'une quelconque susceptibilité... c'est juste que vous avez atteint les limites de sa patience, plus ou moins.
La mort avant le déshonneur.Dans les confrontations, l'âge, la carrure et les handicaps de son opposant ne sont que de mini-détails à ses yeux : que vous sortiez du berceau, soyez en première année ou plus âgé, que vous soyez un homme ou une femme... il n'en aura que faire et foncera dans le tas de la même manière. Là où certains y voient forcément une forme d'abus de faiblesse, lui, y voit un traitement égalitaire : c'est bien vous qui désiriez l'égalité des sexes mesdames, non ?
C'est le lion de la savane, celui dont le coup de semonce est superficiel (car oui, si vous observez bien son être, des signes montrent sa tentative de contrôle), à duration très limitée : il estime n'avoir pas de temps à perdre pour faire dans le bluff, alors de suite ça frappe fort au lieu de passer par quatre chemins. Devenez son ennemi.e et il sera votre pire cauchemar, promis ;
humiliations à la clef — et elles sont salées, croyez bien. Mieux vaut ne pas se trouver sur son chemin dès que la furie le saisie. Le harcèlement, il l'a déjà pratiqué.
Traiter quelqu'un en paria, ça ne le dérange pas le moins du monde. Ah. Il vient d'ôter ses lunettes ? un conseil : prenez les jambes à votre cou, vite.
La famille, pour lui, ça ne signifie pas grand chose, conséquence d'une collection bien trop étendue de supposées mères — toutes ces putains entretenues qui ne jurent que par la moula. S'il en souffre ? pas le moins du monde — ou très superficiellement. Pourtant, il ait des manques qui vous bouffent intérieurement, qui vous construisent sur des travers, de façon inconsciente et vous n'y pouvez rien ; et lui non plus.
Les superstitions familiales. Mon dieu. « possidet’ na dorojkou » (« s’asseoir pour la route »)
le vieux l'énerve avec ses superstitions, ce n'est un secret pour personne dans la famille. Bon et puis, outre le fait que son paternel l'agace plus qu'outre mesure, on ne va pas s'en cacher : marcher dans les pas de papa ? très peu pour lui. Il n'a pas besoin de
lui,
lui qui ne l'a jamais vraiment vu grandir,
lui qui n'a su que lui donner son nom.
Il ne sait même pas ce qu'il veut faire plus tard. Entretenir la réputation de la famille Fiodorov, il n'en a que faire, et c'est bien pour cette raison qu'il est du genre très spontané, à faire absolument tout ce qui lui passe par la tête, se foutant sciemment du regard d'autrui. Faudrait être docile et utile ? Faudrait être monsieur Tout-le-Monde ? Faudrait être comme
lui ? Faudrait agir comme les autres aiment sous prétexte que l'on est le fils de tel ou tel grand Homme ? Désolé de décevoir, mais c'est un gros non. Vous le prenez pour un abruti ou un raté ? grand bien vous fasse, ça lui est égal de toute façon,
il estime n'avoir de comptes à rendre à personne.
Certainement pas la moitié d'un imbécile (n'en déplaise à l'adage
tout dans les jambes, mais rien dans la tête), il est principalement régi par deux formes d'intelligence : l'
intelligence visuo-spatiale et l'
intelligence kinesthésique. Oh non, ce n'est pas une flèche dans les études, mais pour certains autres domaines, il est bien classé. À chacun
son intellect. La chose qu'il est bon de noter, c'est que Endymion
ne ment pas, non :
il arrange ou déforme, là est toute la subtilité — et croyez-moi que pour arriver à de tels résultats, il faut avoir un minimum de neurones et ne pas être né de la dernière pluie.
Ne le sous-estimez pas.Entrez dans son cercle privé (si vous y parvenez) et vous aurez bon nombre de privilèges. Car oui, aussi connard — et détestable — puisse t-il être, il met un point d'honneur à faire passer ceux qu'il considère comme ses
amis avant tout ; sa loyauté est sans faille :
il les couvre plus que de raison en cas de pépin, mais si vous avez le malheur de passer dans le coin, vous serez le premier désigné coupable.
À la vie, à la mort. Ce sont
eux, sa
vraie famille — et non, bande de mauvaises langues : il n'y a pas que des gars dans ce groupe. Un code les lient les uns aux autres. Attention cependant : si l'amitié a une très grande place dans ses valeurs, il n'en reste, de base, pas moins indépendant et fait bien tout pour la préserver, cette indépendance. Il paraît que marcher seul de temps à autre, ça aide à mieux réfléchir. Sur un sujet différent,
les sobriquets il les trouve/donne assez rapidement, contrairement à sa confiance qui se fait toujours plus attendre. Ils sont
sitôt moqueurs,
sitôt affectueux, tout dépend vraiment de quel côté de la balance vous vous trouvez.
Conscient de ses atouts physiques, il n'est pour autant pas de ceux qui s'en vantent auprès des autres et si c'est un
plus certain pour draguer, il n'irait certainement pas s'exhiber pour plaire :
on doit le prendre comme il est, avec ses excentricités ou rien ; il
est à l'aise avec son corps et c'est bien là le principal.
Rien ne semble le complexer. Et si vous vous posez la question : non,
il n'est pas pudique pour un sou, n'espérez donc pas le mettre mal à l'aise avec ça. Une chose que l'on ne peut lui reprocher ? le fait d'avoir un ego surdimensionné. Il
est humble, tout bonnement.
Le sourire. Ah, vous vous attendez vraiment à ce qu'il affiche un... rictus au tournant d'un couloir, quand il est seul ?
Niet. Mais c'est culturel, ça n'a rien (ou presque) de personnel : les Russes ne sourient qu'aux personnes qu'ils connaissent ou qu'ils portent en estime et à personne d'autre. Là où l'exception est faite, donc, c'est lorsqu'il se trouve avec son groupe d'amis, ceux-là même avec qui il a réussi à échapper au pire. Sinon, il aborde un
air neutre en permanence et attend la même chose des êtres qui l'entourent : comment vous dire que cette différence de culture engendre des tensions ? De toute façon c'est simple : s'il vous voit sourire sans raison apparente (selon ses critères), il vous prendra pour un simple d’esprit. Sur la même lancée,
là où l'européen pleure lorsqu'un malheur lui tombe dessus, le russe aura tendance à rire : oui, oui, il aborde les difficultés mineures de la vie avec un optimisme fervent et Endymion ne fait pas exception à la règle. Et puis, c'est mal vu de pleurer pour un mâle, comprenez.
Alors oui, ça risque de vous étonner, mais il a ce côté
très serviable typique du russe. Avec lui, rien ne se perd et tout se répare, de manière magique ou manuelle :
mettre les mains dans le cambouis ne le dérange pas outre mesure. Non, ce n'est pas une pince ou un écolo dans l'âme, il déteste juste cette facilité qu'ont les gens (notamment les occidentaux) de se débarrasser des objets supposément cassés ou obsolètes. Après, dans un autre ordre d'idées, il peut se montrer
serviable dans le sens où il saura vous délester d'une tâche ingrate en échange d'autre chose/d'un autre service.
Endymion, c'est
un étrange mélange d'accessibilité et d'inaccessibilité et c'est aussi ce qui fait son charme.
Endymion, il
additionne les addictions et ce, sans modération — la dépendance n'est pas là dans tous les domaines pour autant. L'alcool — pas forcément besoin des potes pour lever le verre. Les substances illicites/psychoactives moldues ou magiques. Le sexe. Les fêtes sauvages — jamais softs —, c'est son dada ; véritable petit Méphistophélès, tentateur de ces messieurs-dames : la vie est moins longue et plus douce avec un petit peu d'ivresse. Rien de plus grisant que l'état ébrieux, celui qui vous donne le sentiment de flotter, qui cause ces délicieux troubles de coordination des mouvements, qui vous fait perdre l'équilibre ; grosses poilades en finalité. Toujours pas convaincu.e.s ? soyez sûr.e.s qu'il parviendra à vous faire flancher. Passer un pacte avec Endymion, c'est se damner corps et âme, tête et péchés en avant. «
Elle t'a quitté, p'tit ? prends une latte, ça ira mieux. », «
On t'a fait la misère ? montre-moi qui et compte jusqu'à trois. » les plans en loucedé, c'est
lui ; la vente de substances psychoactives et les duels clandestins c'est
lui aussi d'ailleurs. Les remarques des autres au sujet de son train de vie lui passent bien au-dessus et il entend bien
ne pas se laisser dicter sa conduite par Pierre, Paul ou Jacques. Il
est entier et vit dans le présent, ne se souciant que très peu du passé et encore moins du futur. Il a ce mépris de l’autorité qui domine, cette nécessité de ne pas se conformer aux règlementations. Ce qu'il fait si on le balance aux autorités ? il avoue sans cacher sa faute, insolemment — par contre, la poucave a intérêt à courir vite s'il la découvre.
Être h24 sur le fil du rasoir, c'est un besoin.Ce côté
mauvais garçon, ce n'est pas un genre qu'il se donne, non. Il est comme ça et c'est tout. Le souci néanmoins avec ce que nous nommerons cette
mauvaise facette, c'est qu'il agit souvent comme s'il n'a rien à perdre.
Il a besoin de se sentir vivant, Endymion ; c'est vital.
Il est le centre de son propre monde. Le grand frisson et la douleur sont addictifs. Et quand on dit qu'il défie la mort, ce n'est pas du chiqué : jouer à l'équilibriste sur le bord de la passerelle et se laisser tomber dans le vide ? pas de souci — et si en plus ça peut en faire saisir deux ou trois, c'est encore mieux, mais il n'attend pas les spectateurs pour agir ainsi. Suicidaire ? non, juste avide de sensations fortes et d'hormones tranquillisantes : adrénaline et dopamine vont de pair, après tout.
La routine, il déteste ça. Aussi,
toujours sur le qui-vive, il a développé la magnifique capacité de dormir en position assise plutôt qu'allongée et ce, peu importe où les bras de Morphée daignent le cueillir.
Si l'on ne poussera pas le vice jusqu'à parler d'une
peur véritable, il semble néanmoins bon de mentionner qu'il se méfie assez facilement de la gente féminine. Elles sont souvent beaucoup trop imprévisibles (ne parlons même pas de quand elles sont indisposées !), jouent volontiers les martyrs et que dire... de celles qui préparent des sales coups h24 pour X ou Y raison(s) ? Ne rien pouvoir dire sans systématiquement peser ses mots ? très peu pour lui. Se plier à leurs désirs ? et quoi encore. Les mettre mal à l'aise et faire des avances quand la nana lui plaît physiquement, par contre, pas de souci ; il adore ça : qui oserait seulement lui reprocher de tirer des coups au vu de sa carrure ? Pour lui les femmes ne sont que des plans cul
(et il leur dit bien avant d'entreprendre quoi que ce soit, ne tentez donc pas de vous l'approprier malgré tout ou sa réaction pourrait être très désagréable), rien d'autre (ou du moins, pas grand chose de plus), sans doute la faute à une éducation paternelle un peu trop volage et il doit bien avouer avoir un faible pour les donzelles aux caractères douteux. Pourquoi se contenir quand on peut apporter du plaisir et prendre son pied ? Pour lui, pas d'amour véritable, juste
un instinct primaire guidé par la passion physique qui s'étiole en une ou plusieurs semaines tout au plus.
Il tient trop à sa liberté pour se fixer avec une chieuse pour le moment — les restrictions, les interdits et sacrifices, il n'est pas prêt. Il y a déjà assez de gâchis en ce monde, alors autant le minimiser à sa façon et prendre du bon temps, de jour comme de nuit : il te regarde de haut en bas la clope au bec ? ne cherche pas,
tu viens de lui taper dans l'œil ;
c'est le loup dans la bergerie. Tu le rejettes ? pas de problème,
il ne sera absolument pas ébranlé : tu t'attendais à ce que son estime personnelle en prenne un coup, pas vrai ? Les poitrines et les culs des nanas,
il les regarde sans gêne aucune, jugeant que si ils existent c'est pour une bonne raison : la discrétion ? à quoi bon honnêtement ? se faire prendre n'est pas un crime, qu'est-ce qu'il en a à foutre.
Il est sans filtre. Si néanmoins l'une d'entre elles parvenait à casser cette
carapace, elle serait la plus choyée et respectée des femmes : il serait son mur porteur, elle bénéficierait de toute l'affection qu'il lui serait possible de témoigner et goûterait à sa douceur insoupçonnée ainsi qu'à son romantisme bien enfoui. Avec lui, hors de question de céder à la routine, madame n'aura pas le temps de s'ennuyer. Mais ne rêvez pas, c'est pas demain la veille : dans un sens, on peut dire qu'il se protège de l'amour véritable. Pour le moment, la seule
vraie personne à-même de profiter de ces « pseudo-tendresses » et de sa réelle attention, c'est Oksana, sa sœur cadette ; sa pupille.
Une chose que l'on ne peut lui reprocher, c'est le fait de se plaindre.
Jamais au grand jamais il ne se plaint ou chouine, et ce, même dans la douleur. Avec les années à Durmstrang, il a appris à endurcir son corps et à en renforcer certaines parties : les coups qu'il se prend, il les absorbe, au sens littéral du terme.
C'est un combattant hors pair. Sa force, il a par contre énormément de mal à la contrôler, aussi, les gestes
délicats ne sont pas vraiment intégrés à sa vie quotidienne. Vous n'imaginez cependant pas comme ses sens (internes
— l'ouïe, le goût, l'odorat, le toucher — et externes
— l'équilibrioception, la nociception —) se sont développés au fil des ans au profit de sa vue assez mauvaise : il pourrait tout faire — ou presque — les yeux fermés.
SINGULARITES
il a des canines supérieures particulièrement bien affutées ᖘ il mesure 1m99 et quelques ᖘ ses mains n'ont plus rien de doux, la faute aux entraînements ᖘ déjà très pâle de peau, il a pourtant des tâches (plus ou moins importantes) encore plus claires sur le corps, synonymes de son albinisme ᖘ il a de nombreuses cicatrices, notamment au niveau des poignets ᖘ
Le moins que l'on puisse dire, c'est qu'il ne passe pas inaperçu, Endymion ; on le remarque de loin.
Albinos (il a donc un nystagmus et une vision légèrement floue à cause de la fatigue provoquée par la lumière, pourtant déjà atténuée par un traitement magique à base d'herbes mélangées). Bien que présent au quotidien, jour et nuit, le mouvement d'oscillation involontaire des globes oculaires (
nygtagmus) est beaucoup plus intense lorsqu'il est fatigué. Il est astigmate de base. Lorsqu'il ne porte pas sa paire de lunettes, il
enfile des lentilles rigides (magiques mais limitées en nombre, surtout vu le contexte d'enfermement actuel, alors il fait comme il peut avec ce qu'il a, quitte à dépasser les dates de péremption et le nombre d'utilisations) qui ont pour effet de colorer d'avantage son iris, mais aussi (et surtout) d'améliorer légèrement sa vision. Afin de ne pas exposer à outrance sa peau aux UV, il porte
toujours des vêtements qui couvrent l'ensemble de son corps (chemises aux manches longues et pantalons longs) et des couvre-chefs (du simple bonnet au Borsalino italien).
De ses
origines kalmoukes (donc de sa mère biologique), il ne garde que les
yeux en amande. C’est très « mode moldue », mais Endymion a
trois piercings à l’oreille droite (deux à l'helyx et un au lobe) ainsi que
deux tatouages (l'un au niveau du milieu du cou, sur la gauche, qui ressemble à un espèce de code-barre ; l'autre qui représente un
P russe — qui est en fait un R pour nous — au niveau du bas-ventre aussi sur la gauche).
Il a de
larges épaules — ainsi qu'un cou de taureau —, Endymion ; de celles dont on aime se faire étreindre par pur réconfort ou juste pour se sentir plus en sécurité. Un grand gaillard d'
un mètre quatre-vingt-dix-neuf et quelques comme on en croise rarement au détour d'un couloir de l'établissement. Être grand n'apporte par contre pas que des avantages vous savez, parfois c'est même plutôt un handicap : vous trouvez que se bouffer des bâtis de portes c'est bon pour la santé, vous ? À force d'entraînement et de persévérance, il a aussi développé une musculature et une souplesse sans pareilles : son jeu de jambes montre qu'il est passé maître en la matière et ne parlons pas de ses magnifiques esquives/réflexes. Sa coordination motrice est exceptionnelle. C'est une armoire à glace forgée en à peine six ans. Pourtant, ce n'était pas gagné : de quasi-ficelle à Koldovstoretz, il est littéralement devenu une machine et ce dès sa première année à Durmstrang. Il en faut pour surprendre ce gorille — et je vous conseille de ne pas vous y essayer, à moins que vous ne teniez à... creuser un peu plus votre tombe ? La vie (et surtout les matières scolaires) à Obliviate n'étant pas la même qu'à Durmstrang, il s'entraîne tous les matins avant le petit-déjeuner afin de garder la forme et de conserver son corps fin bien dessiné. Ah et malgré toutes les cochonneries qu'il peut ingurgiter... Endymion ne consomme que très peu de sucre.
Le fameux costard/cravate et les vêtements moulants qui font tourner la tête de ces dames et qui donne généralement le ton du rang social, très peu pour lui. D'ailleurs, il s'entête à
continuer de porter l'uniforme de Durmstrang et non celui d'Obliviate au sein de l'établissement : il trouve que la façon dont s'habillent les élèves, ici, ressemble beaucoup trop à celle d'un pensionnat moldu.